Choix des matériaux, gestion de l'eau, production d'énergie solaire, implication des habitants, intégration paysagère, cheminements doux... À Hédé-Bazouges, Langouët et Guipel (35), 5 lotissements ont été construits dans une approche globale et durable. Découvrez la démarche des collectivités et les spécificités de chaque projet dans cette vidéo !
00:07 Les Courtils à Hédé-Bazouges 03:46 Prairie Madame à Langouët 05:26 La Pelousière à Langouët 07:46 La Paumerie à Guipel 10:24 Les Marivoles à Langouët
Dans cette #videodusamedi, vous allez découvrir 5 éco-lotissements bretons (35) réalisés entre 2004 et 2021 dans une approche globale et durable, en impliquant les habitants et les collectivités. Matériaux biosourcés, gestion de l'eau, production d'énergie solaire, intégration paysagère, cheminements doux dont de ces lotissements des exemples en matière de développement durable.
Un éco-hameau est en cours de construction dans le Var, constitué de quatorze maisons écologiques. Marie Gabardos, Présidente de l’association Bois de Brindille, nous explique ce projet.
En quoi consiste ce projet d’éco-hameau Bois de Brindille ?
Marie Gabardos : Il s’agit d’un hameau construit de toutes pièces par quatorze familles qui ont choisi, pour l’avenir, un mode de vie alternatif. C’est un projet d’éco-habitat groupé et intergénérationnel, où tout le monde a sa place et un rôle à jouer, enfants comme adultes. Nous sommes mus par des valeurs écologiques, humaines et solidaires.
Thomas et Solène ont construit leur maison écolo sur un terrain partagé avec une dizaine de familles. "Plus que des voisins", les habitants gèrent le hameau ensemble, sans pour autant former une communauté.
Focus sur le plus grand éco-lotissement tout en bois de France, dont la construction de 350 logements neufs BBC se termine à Ballainvilliers, en Essonne.
Au sommet d’une colline, un hameau en bois baptisé Habiterre fait face aux vertes montagnes du parc naturel du Vercors. C’est ici, sur les hauteurs de Die, dans la Drôme, qu’une dizaine de foyers, qui pour la plupart ne se connaissaient pas, ont décidé de concrétiser leur envie de vivre autrement.
Depuis mai 2011, ils sont une trentaine, du retraité au nouveau-né en passant par l’adolescent, à cultiver le vivre-ensemble, et l’entraide dans ce que l’on appelle un habitat groupé.
On les appelle écovillages, écolieux, écohameaux. Parfois, on les orthographie éco-villages, éco-lieux et éco-hameaux. Quels que soient le terme utilisé et l’orthographe, on désigne la même chose : une agglomération rurale ou urbaine qui vise l’autosuffisance. Dans ce lieu, c’est l’humain que l’on place au centre et que l’on souhaite en harmonie avec son environnement. Le principe de base est de ne pas prendre à la terre ce qu’on ne peut lui rendre. Au-delà de la théorie, vivre dans un écovillage est-il réalisable ? S’agit-il d’une utopie ?
L’économie sociale et solidaire regorge d’innovations en matière d’habitat et de logement. Les initiatives citoyennes apparaissent comme une alternative à la hausse des prix et au mal-logement. Elles montrent aussi une volonté de repenser les modes de vie et de renforcer le lien social.
450 000 logements franciliens supplémentaires devraient être raccordés à des réseaux de chaleur d’ici 2020. Des réseaux qui seront de plus en plus alimentés par les unités d’incinération d’ordures ménagères, des forages géothermiques et des chaufferies bois.
Mardi 18 septembre, les Assises des énergies renouvelables en milieu urbain, organisées par l'Ademe et la Direction régional et interdépartemental de l'Energie, ont été l'occasion de revenir sur les objectifs fixés dans le premier Schéma régional du Climat, de l'Air et de l'Energie (Srcae) d'Ile de France
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Lyonnaise des Eaux - Schéma d'un réseau de chaleur alimenté par une chaufferie fonctionnant avec deux pompes à chaleur et des chaudières gaz
Des images de l’Ardèche, j’en avais comme tout le monde – De vallées sinueuses qui s’ouvrent sur des gorges profondes où coulent une eau paisible – De petits hameaux de montagne, installés près d’une source déterminant de fait, le nombre des quelques habitations, aux couleurs des pierres locales – De terrasses cultivées et plantés de châtaigniers – D’une génération retournée vivre de la terre et de ses fruits – De sourires en terrasses des cafés…
La 7ème édition du prix de l’Ingénierie du futur, organisé par Syntec Ingénierie, et qui avait pour thème « l’éco-métropole du futur », récompense deux projets : celui de l’école des Ponts Paritech, qui se propose de récupérer la lumière du soleil pour la transmettre par fibres optiques à l’intérieur des bâtiments, et celui de l’Université de Technologie de Compiègne, une très utopique cité flottante.
De «bobos» à «voiture» en passant par «jardin», passage en revue des mots et concepts qui font l’écoquartier.
Un écoquartier se résume-t-il à une affaire d’isolation thermique ? La réponse est non. Comme le dit le paysagiste Alexandre Chemetoff, «l’écoquartier, c’est un quartier enviable avant d’être un quartier dans lequel on vise une performance». En 14 entrées, abécédaire de la complexité du concept.
Ces projets d’aménagement urbain respectueux de l’environnement, portés par le Grenelle de l’environnement, peinent à voir le jour, comme le raconte le journal économique Les Echos. Les opérateurs indiquent notamment au quotidien que ceux-ci concentrent « trop d’objectifs à la fois ».
Hormis le succès de Lyon Confluence, « l’écoquartier de demain », décidé hier par le Grenelle de l’environnement, est pour l’heure loin d’être viable. Si dans l’idée ce type d’aménagement est vecteur d’un changement de conception du logement et des modes de vie de ses habitants, ...
Bretagne Eco-Entreprises lance son guide « Comment concevoir et évaluer une zone d’habitat durable ? ». Cet outil est mis à la disposition des élus et des techniciens des collectivités pour les accompagner dans leurs projets d’éco-quartiers. Particulièrement adapté lors d'une révision de PLU, il est le fruit d’une année de travail et de collaboration entre les différents membres et partenaires de Bretagne Eco-Entreprises.
Rendez-vous en Ecosse, sur la terre des méga-choux, où a fleuri un éco-village qui regroupe aujourd’hui plus de 500 habitants. Autonomes sur le plan alimentaire et énergétique, les maisons sont construites avec des fûts de whisky recyclés !
La légende de Findhorn
A la fin de l’année 1962, près du parc de Findhorn, au Nord de l’Ecosse, s’installent des semi-nomades en caravanes.
Du 15 août au au 20 septembre, une centaine de makers va bâtir un village de la transition énergétique au château de Millemont. Co-fondateur du collectif OuiShare, dédié à la collaboration collaborative, Benjamin Tincq est l'un des initiateurs de ce projet baptisé POC 21.
L’habitat participatif s’offre enfin un terrain légal - A l’ordre du jour depuis plusieurs mois, la loi Alur trouve enfin son dénouement avec le vote définitif du Sénat le 20 février 2014. Parmi les nouvelles mesures figure le cadre légal donné à l’habitat participatif.
Au Hameau des Buis, au cœur de l’Ardèche, se joue depuis dix ans une aventure humaine peu ordinaire. Autour d’une école à la pédagogie innovante s’est construit un écovillage, rassemblant ceux qui veulent vivre différemment, en conjuguant acquis de la modernité et sobriété écologique. Sur ce lieu, des maisons bioclimatiques, bâties avec des matériaux écologiques et locaux, ont vu le jour. (...)
Depuis déja plusieurs années, des programmes de construction à vocation écologique ont vu le jour, il en existe au moins une dizaine en Charente-Maritime. Les futurs propriétaires font construire leur maison en fonction de normes environnementales très strictes, cela s'appelle des éco -hameaux. Vous connaissiez peut être les yourtes et bien nous vous invitons à décourvir une écoquille. Reportage de Pacôme Le Mat et Stéphane Bourin
C’est au cœur de la Bretagne qu’une association d’élus, BRUDED, construit peu à peu les bases d’une transformation écologique.
Dans ces territoires, sont nés les éco-hameaux, équivalents ruraux ou périurbains des éco-quartiers des villes. C’est le cas des deux démarches d’éco-habitat que le documentaire suit pas à pas dans le département des Côtes d’Armor. L’une se situe dans un canton rural et agricole, l’autre en périphérie de St Brieuc.
Comment construire des bâtiments écologiques ? Trois architectes l’ont expliqué, exemples à l’appui, à la Maison du Parc des Ballons des Vosges à Munster.
Depuis trente ans, Jean-Luc Thomas, architecte à Colmar, construit des maisons en paille et en bois : « Nous passions pour des hurluberlus. Ce qui paraissait une utopie est aujourd’hui toléré. » Pourquoi des matériaux aussi primitifs à l’ère du béton, du polystyrène et de la laine de verre ? « De tous les isolants, la paille présente les meilleures performances. »
L’individualisme trouve aujourd’hui ses limites avec le retour d’une idée qui a déjà fait son chemin, notamment dans les années 1970 : l’éco-habitat. Outre leur caractère spécifique concernant leur construction, ces logements s’appuient sur un état d’esprit bien spécifique chez ses résidents.
Un retour à l’idée de solidarité avec l’éco-habitat
Un projet d’écohabitat partagé est en train de voir le jour à Fabrègues, petite ville à une dizaine de kilomètres de Montpellier. A l’origine de ce projet, l’association Ecohabitions qui se charge de mettre en relation des particuliers dont les valeurs humanistes se rejoignent.
Un lotissement pas comme les autres vient de sortir de terre dans le quartier du Verger, à La Madeleine. Anne, Véronique, et Henri-Noël ont décidé d'unir leurs forces pour construire trois pavillons écolos dont ils partageront le jardin.
C'est un flot vert qui s'abat sur La Madeleine. Les trois voisins, Anne Goby, Véronique Javoise et Jean-Noël Cholet ont décidé de tenter l'aventure de l'éco-habitat collectif. Une première dans le pays de Morlaix. Ils viennent de construire trois pavillons écologiques, sur un terrain commun. «On s'est rencontré en 2008 au sein d'un groupe de réflexion sur l'éco-habitat groupé organisé par la Scop Kejal, explique Véronique Javoise. On avait les mêmes envies, alors on a foncé!».
L’habitat écologique n’est plus un rêve inaccessible. A Mulhouse, Grenoble et Lyon, HLM et maisons individuelles conjuguent budget modéré avec design et prouesses environnementales. Pour notre bien-être. Et celui de la planète.
L’écoquartier, c’est une philosophie techno-green qui séduit tous les maires de France. En 2011, on dénombre près de 400 projets. Recyclage de l’eau, tri des déchets, emploi d’énergies alternatives comme le solaire, la géothermie, le chauffage au bois: il s’agit d’abord d’une nouvelle façon de construire des logements neufs en ville tout en réduisant la facture énergétique. Aujourd’hui en effet, le bâtiment représente 40 % de la consommation nationale.
Valérie Létard, Secrétaire d’Etat au développement durable, Présidente de Valenciennes Métropole, et Joël Soigneux, Maire de Saultain, Vice-Président de Valenciennes Métropole, ont inauguré « Le Clos Saint Martin », le premier village de maisons BBC(*) à ossature bois à Saultain (Nord), à l’occasion d’une visite de chantier. Cette réalisation environnementale et sociale exemplaire a été développée par les groupes immobiliers Atland et Logiprom.
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