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Alors qu'un hôpital pédiatrique et qu'une maternité ont été touchés le 9 mars par des bombardements russes en Ukraine, les chefs des diplomaties des deux pays se retrouvent en Turquie pour des pourparlers. La question de la sécurité des civils devrait être abordée alors que deux millions de réfugiés ukrainiens ont déjà quitté leur pays. 
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Generali lance la Fondation « The Human Safety Net » dans le but de protéger les personnes les plus vulnérables. Via Lanne Marie-Christine
Lanne Marie-Christine's curator insight,
November 1, 2017 3:53 AM
Dans cet article, j'explique les ambitions de la fondation THSN qui vient d'être lancée par le groupe Generali. Son action à démarré en France avec deux programmes : THSN pour les réfugiés entrepreneurs et THSN pour les familles (soutien pédagogique à la parentalité pour les familles défavorisées). L'appel est projet pour THSN pour les familles est disponible sur le site THSN ici : http://www.thehumansafetynet.org/fr/newsroom/the-human-safety-net-for-families-kicks-off-in-france Nous recevrons les dossiers jusqu'au 15 janvier. |
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L’accueil des demandeurs d’asile s’ouvre aux marchés financiers. C’est ce que prévoit le nouveau modèle de gestion des centres « Pradha », chargés de l’hébergement des personnes demandant l’asile. Ces centres – d’anciens hôtels bas de gamme – seront gérés au quotidien par une filiale de la Caisse des dépôts sous contrôle du ministère de l’Intérieur, et sont en partie financés par le privé, grâce à un fonds d’investissement dédié. Côté accueil, accompagnement, insertion et encadrement, les coûts sont réduits au minimum, mais les partenaires du fonds – la BNP, Aviva, la CNP assurances ou la Maif – espèrent en tirer des bénéfices. Bienvenue dans l’« action sociale » du XXIe siècle. Via congruence-RSO
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Plusieurs entreprises ont choisi d'intégrer l’embauche de réfugiés à leur démarche RSE. "On note une vraie prise de conscience", souligne Alice Barbe, de l’association SINGA. Pourtant, très peu de grandes entreprises souhaitent communiquer sur cette insertion. "Il y a un réel tabou", explique Diane Binder, cofondatrice d’Action Emploi Réfugiés, "il s’avère difficile aujourd’hui pour une entreprise de justifier ce choix. Avec 10 % de chômage en France, le contexte est particulier". D’autant que les scores du Front National ont quelque peu refroidi les bonnes volontés. Via EcoVadis
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