Parmi les résidus de pesticides ou les produits de dégradation de ces pesticides détectés dans les cours d’eau et les nappes d’eau souterraines, bien plus de la moitié sont suspectés d’appartenir à la catégorie des perturbateurs endocriniens (PE), rapporte une enquête de l'ONG Générations futures. 73,3 % des substances retrouvées dans les eaux de surface seraient concernées.
Via congruence-RSO