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Si le rôle stratégique des achats responsables n'est plus à prouver, les entreprises ont encore une marge de progression pour améliorer la transparence de leurs chaînes d'approvisionnement, l'engagement de leurs fournisseurs et le développement d'outils digitaux intégrant les données ESG.
Via EcoVadis
Première norme au monde sur les achats responsables, l'Iso 20400 a été publiée en 2017. Cinq ans après, l'heure du bilan a sonné. Alors que cette norme pourrait être potentiellement révisée en France, elle reste encore inconnue pour de nombreuses directions des achats.
Via EcoVadis
Les achats durables sont une préoccupation croissante des directions achats. Un sujet qui, pour être véritablement efficace, nécessite d'être bien cerné. Et pour cela, quoi de mieux que la formation ? "Former est un formidable moteur car cela permet de comprendre. Or, comprendre un problème est indispensable pour réussir à ce que les personnes mettent en oeuvre les changements nécessaires", souligne Alexandre Florentin, consultant en stratégie climat chez Carbone 4, cabinet de conseil spécialisé dans la stratégie carbone.
Via EcoVadis
Selon une enquête réalisée tous les ans par l’Obsar, les acheteurs publics ont intégré les achats responsables au rang de priorité, mais il leur faut maintenant approfondir la démarche sur certains champs d’action, comme l’économie circulaire, la réduction des gaz à effet de serre ou la mesure des efforts entrepris.
Via EcoVadis
Cette année, 72 % des entreprises françaises considèrent que la Responsabilité Sociétale et Environnementale (RSE) est un enjeu essentiel dans leur stratégie. La tendance des achats responsables incite à développer des partenariats durables entre fournisseurs et acheteurs. Ces partenariats passent aujourd'hui par des marketplaces, à fort impact social, leur permettant, par exemple, de réduire la cascade de sous-traitance. Les entreprises sensibles aux impacts RSE profitent alors d'achats maîtrisés, sans risque juridique, les marketplaces les accompagnant directement dans le choix du prestataire.
Via Marc Unfried
Le Baromètre EcoVadis "Achats Responsables" * 2021 révèle que la réalisation des objectifs de développement durable des entreprises est devenue une priorité pour les dirigeants achats, avec 63% d'entre eux la déclarant comme "très importante", contre seulement 25% en 2019.
Via EcoVadis, François GARREAU, Mickael Ruau
Il montre tout d'abord que la réalisation des objectifs de développement durable des entreprises est devenue une priorité pour les dirigeants Achats, avec 63% d’entre eux la déclarant comme «très importante», contre seulement 25% en 2019. En parallèle, pour 46% des fournisseurs, l'engagement de leurs clients en faveur du développement durable n'est réel « que sur le papier »
Via Marc Unfried
6% des Français affirment avoir modifié leur consommation ces derniers mois pour être plus responsables, selon une étude d’Imediacenter, la régie publicitaire du groupe Auchan, qui propose un décryptage, à l’attention des agences, annonceurs et enseignes, des nouvelles habitudes et attitudes des Français en matière de consommation responsable. Si 49% ne se disent pas prêts à payer plus cher pour une marque responsable (vs 47% de oui),32% des personnes interrogées font quand même part de leur confiance envers les marques.
Via EcoVadis
En complément de son étude sur la consommation responsable publiée en mai, l’association Max Havelaar France dévoile les résultats d’un second baromètre, faisant suite au confinement de novembre. La première étude mettait en avant un intérêt des consommateurs pour des produits bio, éthiques et locaux, mais la seconde analyse apporte plus de nuances.
Des achats stables en alimentaire Certes, 73 % des Français déclarent avoir davantage envie d’acheter des produits responsables, mais en réalité, les achats sont restés stables par rapport à 2019. Seuls un tiers des consommateurs prévoit d’augmenter son budget alimentaire dédié à ce type de produits. Dans les secteurs non alimentaires, l’intérêt pour les produits responsables passe de 51 à 42 %. Dans l’alimentaire, il régresse moins fortement, de 81 à 79 %. « Les Français repriorisent leurs choix responsables. La tendance constatée l'année dernière était à la fois multicritères (bio, local, équitable, zéro emballage...) et multi-catégories. On voit avec la crise le maintien d'une priorité : l'alimentation ! Même si pour 60 % des Français, les enjeux sanitaires ont pris le dessus dans les préoccupations quotidiennes, la consommation alimentaire responsable se maintient dans le choix des produits et, nouveauté, dans une préférence croissante pour les points de vente « directs producteurs », les marchés notamment, mais aussi les magasins bio » explique Blaise Desbordes, dg de Max Havelaar France.
Via EcoVadis
Le directeur des achats de Schmidt Groupe, Laurent Belloni, l'assure : après la crise du Covid-19, "L'intégration de la RSE restera au coeur de notre politique achats. L'analyse des risques sera un pilier structurant. "
Via Marc Unfried
On veut notamment encourager la production de produits plus écologiques, privilégier l’approvisionnement de proximité et valoriser nos ressources naturelles. Des discussions, entre autres, avec les entrepreneurs auront lieu dans les prochaines semaines pour permettre d’atteindre ces objectifs.
Or, si on souhaite accélérer la transition écologique, il semble naturel que le plus grand acheteur de la province, l’État québécois, modifie aussi ses façons de faire. Autrement dit, chaque ministère, mais aussi chaque organisme relevant de l’État et chaque démembrement de l’État doivent se tourner vers l’achat durable, c’est-à-dire vers des achats plus écologiques et socialement acceptables. Cela vise les écoles, les garderies, les hôpitaux, les universités de même que les sociétés d’État.
Pour plusieurs, les accords de libre-échange constituent un frein à la capacité du gouvernement d’imposer des achats plus durables dans la passation des marchés publics. Or, cette limite provient plutôt du gouvernement québécois qui demeure insuffisamment directif à l’égard des acheteurs publics.
Via EcoVadis
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) désigne la prise en compte par les entreprises des enjeux, sociaux et éthiques dans leurs activités. Alors que la crise sanitaire déclenche une crise économique sans précédent, la RSE doit se décliner en une stratégie d'achat responsable qui doit rechercher et privilégier l'achat local et donc français.
Chaque jour amène son lot d'annonces d'entreprises généreuses qui contribuent à l'effort sanitaire via des dons ou le réaménagement de leur production et de chefs d'entreprises et d'actionnaires qui renoncent à leurs dividendes ou à une partie de leurs revenus par solidarité. On ne peut que s'en féliciter, mais il ne faut pas se leurrer, la RSE ne doit pas se restreindre à ces actions somme toute assez symboliques.
Via EcoVadis
Le manque d'indicateurs de mesure est la principale difficulté rencontrée lors de la mise en place d'une démarche achats responsables. Pour aider les directions achats, il existe aujourd'hui des ressources : la norme ISO 20400, les indicateurs de l'ObsAR et l'outil Indiko achats responsables de l'Afnor.
Via EcoVadis
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On observe une montée en puissance croissante des achats responsables dans les politiques des entreprises au travers des engagements RSE. Même si le niveau de maturité reste très inégal d'une entreprise à une autre et d'un secteur d'activité à l'autre. Ajoutons aussi, la volonté forte de l'État au travers du Plan National pour des Achats Durables 2022-2025 fixe deux objectifs majeurs : j'aime le loup
D'ici à 2025, 100 % des contrats de la commande publique notifiés au cours de l'année comprennent au moins une considération environnementale D'ici à 2025, 30 % des contrats de la commande publique notifiés au cours de l'année comprennent au moins une considération sociale Ces objectifs sont à n'en pas douter des accélérateurs de montée maturité des politiques achats responsables.
Via EcoVadis
Aujourd'hui la société civile a voie au chapitre dans le domaine des achats responsables, poussée par une plus grande exigence des consommateurs. Les ONG ne sont pas là que pour dénoncer les mauvaises pratiques et désormais, les directions achats n'hésitent plus à solliciter leur expertise pour les accompagner.
Via EcoVadis
Si les acheteurs ont gagné en compétences et se sont révélés indispensables au cours de la crise sanitaire, les directions générales n'ont semble-t-il pas encore pris le pouls du virage stratégique de la fonction.
Via EcoVadis
Si la plupart des organisations privées et publiques ont initié une politique d'achats responsables, le 13e baromètre de l'Obsar pointe un manque de formalisation de cette démarche.
Via EcoVadis
Selon l'étude Michael Page, menée en partenariat avec le CNA, la politique d'achats responsables est d'ores et déjà une réalité pour 60% des acheteurs. Menée par Brice Malm, cette étude nous apprend aussi que les achats responsables sont une réalité dans 72% des organisations de plus de 1000 personnes. Dans les plus petites structures (moins de 500 personnes), cette pratique apparaît moins avancée et n'est une réalité que pour 45% des répondants. Selon Michael Page, cet aspect de la fonction sera inéluctablement amené à se développer dans les mois et années à venir, raison pour laquelle 50% des répondants estiment que les achats responsables sont une compétence à acquérir pour répondre aux besoins de transformation des entreprises et organisations publiques et par ailleurs rester attractif sur le marché.
Via EcoVadis
En 2021, la décarbonation de notre économie est un impératif, voire une urgence pour le climat et la préservation de nos environnements. Il appartient à chacune de nos organisations d’agir pour leur survie et la nôtre. Les directions achats peuvent devenir l’une des pièces maîtresses de ce changement. Mais pour ce faire, elles doivent se transformer.
Via Mickael Ruau
Le médiateur des entreprises Pierre Pelouzet vient de remettre à la secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale, solidaire et responsable Olivia Grégoire un rapport pour développer le label « Achats responsables ». Parmi les objectifs, promouvoir l’exemplarité de la commande publique et en faire un levier pour mieux prendre en compte la RSE dans l’ensemble de l'économie.
Via Marc Unfried
Respectueux de l’environnement, bénéfiques pour l’économie (locale), bons pour la santé, mais aussi vertueux pour la société : les produits de consommation éthique doivent répondre à une équation difficile à tenir. Selon le dernier sondage de l’Observatoire Cetelem (mai 2020), les Français sont 84 % à vouloir consommer plus responsable. Un message entendu par la grande distribution qui, depuis 2018, rivalise d’engagements pour tenir tête à la concurrence des circuits courts et des grandes enseignes indépendantes du bio. Dans les rayons, les propositions explosent. Petit guide pour s’y retrouver.
Via EcoVadis
Le groupe Air Liquide considère sa politique d’achat et ses pratiques achats responsables comme essentielles à l’atteinte de son ambition globale de contribuer à un monde plus durable et créer toujours plus de valeur.
Au delà du respect des exigences réglementaires et du devoir légal de vigilance, c’est l’impact et l’effet moteur sur l’ensemble de l’industrie qui est recherché.
Via EcoVadis
L’Institut National de l’Economie Circulaire a lancé fin 2018, avec la Métropole du Grand Paris et l’Observatoire des Achats Responsables un programme opérationnel sur les Achats et l’Economie circulaire. Forts de l’expérience des participants, des enjeux identifiés et des solutions élaborées au cours de cette année d’expérimentation, l’objectif de ce présent guide est d’accompagner, étape par étape, les acheteurs privés et publics dans l’intégration de l’économie circulaire dans leurs politiques d’achats.
Via EcoVadis
La crise sanitaire du Covid-19 va accentuer ce besoin latent de traçabilité alimentaire car les consommateurs vont de plus en plus vouloir s’assurer que les produits qu’ils consomment sont respectueux de l’environnement et du bien-être animal.
Via EcoVadis
L’observatoire des achats responsables dévoilait début février 2020 son baromètre 2020 (onzième édition) sur l’intérêt des organisations pour les achats responsables. Les résultats, plutôt encourageants, laissent apparaître une vive motivation du côté des entreprises qui ne s’accompagne pas toujours d’actions concrètes. 85 % des entreprises interrogées ont mis en place une politique d’Achats Responsables dont 11 % dans l’année écoulée. Il s’agit d’un engagement prenant peu à peu forme et faisant désormais partie intégrante des stratégies RSE. De nombreuses organisations membres du C3D ont totalement intégré cette responsabilité dans leur stratégie RSE.
Via EcoVadis
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