Une ONG [Générations futures] a compilé les données de cinq ans d’enquête de la DGCCRF. Elles montrent que 73 % des échantillons de fruits non-bio analysés et 41 % de ceux de légumes sont contaminés.
(...) Et Emmanuelle Kesse-Guyot, épidémiologiste et directrice de recherches à l’INRA, de confirmer : « On peut être en alerte, mais avant de dire que la situation est dangereuse, il faut des informations complémentaires sur les pesticides concernés. »
Via congruence-RSO