Entre 2012 et 2016, 5,3 % des changements de dirigeants observés dans le monde étaient dus à des scandales ou à des comportements inappropriés, selon une étude publiée mi-mai par le cabinet PwC. Ce chiffre est en augmentation de 36% comparé à la période 2007-2011. Cette tendance reflète l’exigence de plus en plus forte de l’opinion publique, mais aussi des investisseurs, envers des entreprises qui se doivent désormais d’être irréprochables.