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Alors que des millions de micro-billes de plastique, tombées d'un bateau, envahissent les plages du nord-ouest de l'Espagne et font polémique, des élus et des associations du Pays Basque suivent de près la situation.
Via Cedre
Agriculture, transports, bâtiments, industrie, énergie ou traitement des déchets ? Quels secteurs émettent le plus de gaz à effet de serre, lesquels respectent leur feuille de route ? Lesquels devront fournir le plus d'efforts ? Le point sur la situation à l'occasion de la COP28.
Via Mathilde Lespets
Le mont Blanc mesure désormais 4 806 mètres, soit 2 mètres de moins que lors de la dernière mesure. Une tendance à la baisse observée depuis les années 2000. La prise de conscience reste difficile du côté des élus locaux.
Le mont Blanc fondrait-il comme neige au soleil ? Il mesure désormais 4 805,59 mètres, d’après la mesure réalisée entre le 14 et le 16 septembre par une équipe de géomètres experts. Soit 2,22 mètres de moins qu’en 2021. Une tendance à la baisse observée depuis le début de ces opérations de (...)
Via Mathilde Lespets
Le 22 juin 2023, Bérangère Couillard, secrétaire d’Etat à l’écologie a annoncé le retour de la consigne sur les emballages en verre d’ici deux ans. Une mesure saluée par les ONG, qui rappellent néanmoins que le véritable enjeu reste celui de la pollution plastique.
Via EcoVadis
Tic, tac, tic... Ce jeudi 5 mai, la France a épuisé son quota de ressources planétaires et vit symboliquement à crédit jusqu’à la fin de l’année.
Via Mathilde Lespets
L’association en charge de l’inventaire des émissions de gaz polluants en France constate une baisse de 2,5% des émissions de gaz à effet de serre en 2022. Un résultat positif qui doit beaucoup à la politique de sobriété engagée pour atténuer l’impact de la crise énergétique.
Via EcoVadis
Du Finistère à la Vendée, des granulés de plastique sont retrouvés sur les plages depuis décembre 2022. Si l'État a récemment porté plainte, le phénomène n'a rien de nouveau.
Via Cedre
Investir à grande échelle dans des entreprises tout en limitant l'impact sur la biodiversité reste difficile, mais de plus en plus d'acteurs du secteur financier se saisissent de la question. Si l'immense majorité des gérants ont conscience des enjeux climatiques, la prise en compte de la biodiversité reste balbutiante. En France, moins d'un tiers des gestionnaires d'actifs proposent des produits financiers qui prennent en compte des critères concernant la biodiversité dans les entreprises où ils investissent. Une proportion encore plus faible le fait via des fonds dédiés, selon une étude de l'Observatoire de la responsabilité sociétale des entreprises publiée en mai. La plupart de ces offres reposent sur la gestion active, avec un gérant qui choisit directement les entreprises où placer l'argent et peut en changer à tout moment. Depuis jeudi, il est aussi possible d'investir directement sur la biodiversité via un fonds ETF ("Exchange Trading Fund"), un placement conçu pour reproduire la performance boursière d'un panier d'entreprises, lancé par la banque HSBC en lien avec l'opérateur boursier Euronext.
Via EcoVadis
Depuis 2020, le monde du travail en France a considérablement changé. Près d’un salarié sur quatre (22 %) a changé de travail dans les deux dernières années et 23 % de ceux qui n’ont pas sauté le pas recherchent activement une nouvelle opportunité pour 2022. Leurs raisons ? Trouver une meilleure rémunération, de meilleures opportunités de carrière, et un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Quelles sont précisément les attentes des employés et leur priorité au travail ? Petit état des lieux en quelques chiffres clés.
Via Digital Learning Center Léonard de Vinci
La France impose par un loi de 2021 à chaque secteur économique fortement émetteur de gaz à effet de serre de préparer une feuille de route visant à atteindre la neutralité carbone en 2050. A l'image du bâtiment qui pèse 125 milliards d'euros de chiffre d'affaires annuels, 1.15 million de salariés et 410.000 entreprises. Mais aussi et surtout 25% des émissions de gaz à effet de serre.
Via EcoVadis
Un récent sondage effectué pour l’Autorité des marchés financiers (AMF) souligne que plus d’un Français sur deux affirme prendre en compte les enjeux de développement durable en matière d’épargne. En particulier, si 76 % d’entre eux estiment que l’impact de leurs placements sur la qualité de l’environnement est un sujet important, seulement 11 % disent connaître précisément les différents types de placements durables et responsables ou assimilés.
Pour les aider à se retrouver dans la jungle des produits financiers, l’État français et le ministère de l’Économie et des Finances ont créé le label ISR en 2016 afin de « rendre plus visibles les produits d’investissement socialement responsables pour les épargnants ». Pour obtenir ce sésame, les sociétés de gestion ou fonds d’investissement doivent investir leurs argents dans des entreprises respectant des critères ESG : environnementaux (E), sociaux (S) et de gouvernance (G).
Via EcoVadis
En 2021, les campagnes RSE ont représenté 11 % des investissements bruts sur l'ensemble du marché publicitaire français, tous types de média confondus, selon les calculs de Kantar. Au total, 2.136 annonceurs ont intégré la RSE dans leurs publicités au cours de l'exercice écoulé.
Via EcoVadis
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La directive CSRD transposée en France pose la question des données ESG.
Via Mathilde Lespets
Actualité industrie : À l'occasion de la COP28 qui s'ouvre ce jeudi à Dubaï, la Fondation Jean Jaurès et la Banque européenne d'investissement ont sondé les Français sur les sujets environnementaux et sociétaux qui les préoccupent le plus. (#1582013)
Via Mathilde Lespets
Une étude de la Banque de France suggère que 3.199 fonds français détenaient pour 249 milliards d’euros d’actifs bruns à fin septembre 2022.
Les émissions de gaz à effet de serre ont reculé de 4,3 % au deuxième trimestre. L'industrie, la production d'énergie et les bâtiments ont participé à ce mouvement, selon le Citepa, l'organisme officiel chargé de calculer les émissions du pays.
Via Mathilde Lespets
La France doit passer de 408 millions de tonnes de CO2 équivalent (Mt CO2e) en 2022 à 270 millions en 2030. Par rapport à 1990, l'année de référence utilisée en Europe, l'objectif est de -50% en 2030, et -55% en "net", si l'on inclut les puits de carbone que sont sols et forêts, ce qui est l'objectif européen.
Via EcoVadis
Le Conseil national de la transition écologique (CNTE) a conclu jeudi que la France devait se préparer à un réchauffement climatique allant jusqu'à +4 degrés en métropole. Cet avis suit les préconisations du ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, qui appelle depuis quelques mois à sortir du "déni".
Via DocBiodiv, Mathilde Lespets
Les innovations technologiques ont un rôle à jouer dans la transition énergétique des entreprises. En pleine transformation, ces dernières, à l’image d’EDF ou d’Orange, s’appuient sur le numérique pour agir sur leur impact environnemental.
Bonne nouvelle : en France, sept grandes entreprises sur dix (70%) et plus de la moitié des PME (53%) ont bel et bien entamé leur transformation numérique. Pour autant, les outils numériques et leurs divers usages ont un impact écologique loin d’être négligeable. Le secteur du numérique – réseaux de communication, terminaux et usages – représente ainsi 3 à 4% des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le monde, et 2,5% de l’empreinte carbone française. Une empreinte somme toute modeste, mais qui pourrait bien exploser à la faveur de la croissance du secteur : selon un rapport du Sénat, les émissions de GES liées au numérique pourraient en effet bondir de 60% d’ici 2040, pour peser l’équivalent de 6,7% des émissions nationales.
Via EcoVadis
Poussées par la réglementation européenne, 95 % des entreprises françaises s’impliquent dans un reporting en matière de développement durable et de critères Environnement, Société et Gouvernance (ESG). C'est le résultat de 12e édition de l’étude Survey of Sustainability Reporting de KPMG. Mieux encore, 89 % d’entre elles font certifier ce reporting par des tiers indépendants et des services de certification de l’information. Une part bien plus importante que pour les autres entreprises dans le monde (63 %). Les entreprises concernées intègrent pour 63 % les recommandations du TCFD (Task Force for Climate Financial Disclosure) à leur reporting extrafinancier (contre 61 % à l’échelle mondiale) et pour 85 % les normes de l’ONU en matière de développement durable.
Outre les réglementations européennes, ces différences s’expliquent par une sensibilisation accrue et une prise en compte par les entreprises françaises plus importante des enjeux ESG. 75 % des entreprises sondées ont par exemple nommé un responsable dédié aux questions ESG au cœur de leurs instances dirigeantes. Une pratique beaucoup moins démocratisée à l’étranger (44 %).
Via EcoVadis
L'industrie agroalimentaire est le premier secteur pour l'emploi en France, il représente 1,65 % du PIB français. C'est la Bretagne qui emploie le plus de personnes dans le secteur agroalimentaire, tandis que c'est dans la région Nouvelle-Aquitaine qu'il y a le plus d'entreprises…
Le secteur des viandes, préparations à base de viande est le premier employeur de l'agroalimentaire, devant celui des produits laitiers. En moyenne, les industries agroalimentaires affichent un taux d'investissement de 19 %. Le poids de l'export est plus ou moins important selon les secteurs, il compte particulièrement pour les boissons…
Via Cedric
Consommer, oui, mais dans le respect de certaines valeurs. Les Français sont de plus en plus nombreux à favoriser une consommation responsable. Les marques rivalisent d’ingéniosité pour étancher cette soif durable.
Via EcoVadis
La marque française s’est associée à LyondellBasell et à Albéa pour concevoir la nouvelle génération de tubes recyclés et recyclables de sa collection Amande. Réalisé par Albéa Tubes avec des polymères de LyondellBasell, ce packaging est emblématique de la nouvelle génération d’emballages circulaires issus de technologies avancées de recyclage.
Via EcoVadis
A l’occasion de la 5ème Assemblée des Nations-Unies pour l’Environnement (UNEA-5.2) qui se tient actuellement à Nairobi au Kenya, les ministres de l’environnement du monde entier sont réunis pour engager les discussions et négociations autour des enjeux multiples du thème « Renforcer les actions en faveur de la nature pour atteindre les objectifs de développement durable ».
Dans le cadre des négociations en cours, une résolution portant sur la pollution plastique et les déchets marins, portée par le Pérou et le Rwanda et soutenue par une soixantaine d’Etats dont la France et l’Union européenne, a été adoptée. Elle établit un comité intergouvernemental de négociations, en vue d’adopter un accord juridiquement contraignant sur la pollution plastique, considérant l’intégralité de son cycle de vie, y compris les micro plastiques.
Via EcoVadis
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