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D’une façon générale, si toutes les entreprises avaient la même politique environnementale que Google, tous les consultants en Green IT seraient millionnaires car les initiatives sont nombreuses et variées… Parmi toutes les mesures qui nous sont présentées, on notera : - Le fameux datacenter finlandais avec un PUE qui flirte les 1,2 et qui est refroidi à l’eau de mer. - L’utilisation massive (un tiers de leur consommation) d’électricité d’origine renouvelable soit par - L’achat de certificats verts, soit par l’implantation directe de parc éolien. - La compensation carbone. Selon Google, leur consommation électrique en 2011 s’est élevée à 2 675 898 MWh, soit 1,3% de la consommation mondiale des Datacenters."
Via Sami Azzouni
E-learning, conférences, formations, concours, forums ou encore théâtre sur mesure, les possibilités ne manquent pas pour parler de RSE à des collaborateurs...
Via Solange Hémery
Spécialiste de la consommation engagée, la sociologue Sophie Dubuisson-Quellier nous explique comment un citoyen lambda devient un consommateur responsable.
Via Christophe CESETTI, Solange Hémery
Ingrédients, composition nutritionnelle et information sur les produits alimentaires du monde entier dans une base de données libre et ouverte... Que les professionnels du marketing se mettent aux abris. Les marques et produits de grande consommation vont devoir faire face à l’émergence d’un nouveau phénomène : l’exposition de leurs données par les consommateurs. Associé à Owni et Terra Eco, le site http://fr.openfoodfacts.org, consacré à l’ouverture des données dans l’alimentaire, lance une grande opération de recueil des données sur les sodas et leurs ingrédients : quels additifs chimiques y trouve-t-on ? En quelles quantités selon la législation en vigueur ? Des diététiciens et nutritionnistes, des journalistes et des experts en visualisation de données se chargeront de faire parler les informations collectées. « Digne de l’intérêt général et entrant dans le champs de la santé publique, l’accessibilité des données permet à tout citoyen de consulter la composition de ce qu’il ingère au quotidien». Intérêt général, santé publique, les gros maux sont lâchés. Le mouvement « conso-citoyen » trouve sa genèse dans le manque de transparence de l’industrie agroalimentaire. Hier, l’huile de palme. Aujourd’hui, les sodas. Et demain, à qui le tour ? Les produits de beauté ? L’immobilier ? Les banques ?
Via blueQUEST, www.blue-quest.fr
L’éco-conception, l’écologie industrielle et les modèles d’affaires intégrant la préservation de l’environnement sont des approches permettant de tendre vers la notion d’économie circulaire. L’ADEME présente un numéro spécial consacré à l'économie circulaire, synthétique et pédagogique, il est également enrichi d’exemples concrets.
Via blueQUEST, www.blue-quest.fr
A un millier de kilomètres du pôle Nord, l'archipel norvégien du Svalbard (Spitzberg) abrite depuis février 2008 un entrepôt international de semences végétales, sorte de chambre froide géante enfouie dans la montagne et hautement sécurisée. C'est un centre international de recherche agronomique situé à Alep, la deuxième ville de Syrie, qui a envoyé quelque 14.000 échantillons de graines de blé, d'orge, de pois carré ou encore de pois chiche, parachevant ainsi au Svalbard la duplication de son entière collection. Stockées dans des conditions de conservation optimales, les graines restent la propriété des Etats et institutions qui les déposent. Elles pourront être utilisées pour replanter une espèce végétale menacée d'extinction à l'état naturel.
Le Château a en effet initié dès 1999 une démarche écologique impliquant l’ensemble des acteurs concernés. De la gestion des déchets et effluents par l’agriculteur à la formation de l’employeur, en passant par le bilan carbone du producteur, rien n’a été laissé au hasard.Le poids des bouteilles, lui, a baissé de 100 grammes, ce qui signifie une consommation inférieure de pétrole pour la fabrication, mais aussi moins de carburant dans le cadre du transport. Quant à la quantité de matières recyclées, elle a bondi de 75 % (!).La production d’une bouteille de 750 millilitres suppose une émission de 1 150 grammes équivalent CO2, et représente 6,2 litres d’eau, ce qui correspond à la quantité d’eau écoulée sous la douche pendant 15 secondes.Reste les répercussions sur la biodiversité, elles aussi très relatives puisqu’elles équivalent à 2,66 m2 de forêts vierges utilisés en parking pendant un an.
Ecoeff accompagne depuis 3 ans Malongo dans sa démarche d’éco-conception. Résultat ? Sans doute un des projets les plus intéressants de 2012. Ek’Oh, la nouvelle machine expresso grand public du torréfacteur niçois, devrait être mise en vente à l’automne. Fabriquée par des PME françaises, recyclable et utilisant des dosettes biodégradables, elle s’apprête à défier le géant suisse Nespresso sur un marché en plein essor.Après la défense des petits producteurs avec le commerce équitable, Malongo, le torréfacteur niçois, engage la bataille du « fabriqué en France » pour sa nouvelle machine expresso, qui devrait être mise en vente à l’automne prochain. « En 2008, quand nous avons lancé les premières études d’une nouvelle machine expresso grand public à café prédosé, nous avons fait un pari, celui de l’écoconception pour pouvoir produire en France », se souvient Jean-Pierre Blanc, directeur général de l’entreprise. Quatre ans après, au terme d’une véritable course d’obstacles d’un bout à l’autre de l’Hexagone pour trouver, le plus discrètement possible sans avertir la concurrence, des PME capables de répondre à ses exigences, le pari est en voie d’être gagné.
Leurs responsables respectifs l’ont bien compris : diminuer l’empreinte carbone des activités des entreprises dont ils ont la charge est aussi dans leur intérêt.Le groupe Starbucks, s’est notamment distingué en mars dernier, inaugurant à Amsterdam (Pays-Bas) un « concept-store » conçu à partir d’objets recyclés et qui pourrait faire des petits.D’une manière générale, même si le grand public ne le sait pas forcément, « cela fait plus de 15 ans que McDonald’s France agit pour l’environnement », souligne la vice-présidente de l’antenne hexagonale du groupe en charge du Développement durable et des relations extérieures Delphine Smagghe sur son blog.« En ce qui concerne le choix des matériaux, l’objectif principal est de privilégier l’utilisation de ressources renouvelables, qui composent près de 90 % des emballages de McDonald’s France », précise le groupe dans son rapport Développement durable 2011.Starbucks qui pèse près de la moitié du marché américain du café et a à ce titre une responsabilité environnementale toute à fait considérable, ayant imaginé un nouveau gobelet éco-conçu qui utilise 34 % de matière première fibreuse en moins qu’un gobelet « standard » et 25 % de matériaux recyclés en plus, ce qui pourrait permettre de sauver quelque cent mille arbres.
La Fête de la bière de Munich, qui se tiendra au mois d’octobre, sera alimentée exclusivement en électricité « verte ». En outre, les restaurateurs présents sur le site seront fournis en gaz écologique, a indiqué mercredi Hep Monatzeder, maire de Munich. L’édition 2012 sera donc résolument placée sous le signe du développement durable.Depuis 2000, toutes les infrastructures publiques (rues, toilettes…) de la Fête de la bière sont alimentées en électricité « verte », indiquent les organisateurs. Les forains et les restaurateurs utilisent également des énergies renouvelables.La Fête de la bière de Munich (« Wiesn ») est le plus grand rassemblement populaire du monde. L’année dernière, elle a accueilli 6,9 millions de visiteurs. Elle existe depuis 1810. L’édition 2012 se déroulera du 22 septembre au 7 octobre.
Le président de Total, Christophe de Margerie, a confié au Financial Times à paraitre ce mercredi son inquiétude pour l'environnement de l'Arctique en cas de forage pétrolier dans ces régions polaires.Le groupe Total prendrait-il fait et cause pour l'environnement? Son président, Chistophe de Margerie, a déclaré au quotidien économiqueThe Financial Times, qu'il s'opposait au forage dans l'Arctique, et, plus largement au dessus du cercle polaire. Une première pour un groupe pétrolier.Dans le Groenland en particulier, "une fuite ferait énormément de mal à l'image de la compagnie", a-t-il affirmé. Celle-ci a déjà été écornée par le passé, notamment avec le naufrage de l'Erika. Sa condamnation pour "préjudice écologique" a d'ailleurs été confirmée mardi 25 septembre par la Cour de cassation française.
Ecorismo est un ensemble de services destinés aux professionnels du tourisme mais également de l'hôtellerie, de la restauration, du camping, du spa et bien-être et des collectivités. Ecorismo organise notamment des rencontres entre professionnels des entreprises et des territoires touristiques sur la thématique du développement durable. Le forum du 4 octobre dernier - qui a eu lieu à Saint-Jean-de-Monts (85) en présence de Christian Vicenty, représentant le ministère du Tourisme, de l'Artisanat et du Commerce et de Philippe François, président d'Ecorismo -, a permis de mettre en avant trois initiatives afin de mieux prendre en compte la biodiversité dans le secteur du tourisme. Tout d'abord, le lancement du club Ecorismo pour la biodiversité, réseau est ouvert à tous les acteurs du tourisme souhaitant mettre en place des actions sur ce thème. De plus, l'assemblée a décidé que la station de Saint-Jean-de-Monts serait l'ancrage géographique de cette thématique tourisme et biodiversité en France. Enfin, la création d'un système de reconnaissance de la prise en compte de la biodiversité par les filières touristiques, pour répondre au besoin d'outils et de méthodes exprimé par les participants. Un premier secteur pourrait bénéficier de cette méthodologie : la restauration.
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éco-conception web : les 100 bonnes pratiquesGreenIT.frTrès concret, ce livre guide le lecteur dans cette démarche, au travers des 100 bonnes pratiques à appliquer à chaque étape du cycle de vie : conception, développement, exploitation.
Association Alliances - Pour des entreprises économiquement lucides et socialement responsables...
Via Solange Hémery
« Des mesures urgentes sont nécessaires pour réduire les risques que posent les produits chimiques sur la santé, sur l’environnement et sur la croissance, aussi bien dans les pays développés et dans les pays émergents que dans les économies en développement », ont souligné, plusieurs experts lors de la présentation du rapport « Global Chemicals Outlook ». Réalisé sous la direction du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), « Global Chemicals Outlook » offre, un aperçu mondial des grandes tendances en matière de produits chimiques et de leurs impact sociaux et environnementaux au plan mondial dans un grand nombre de secteurs d'activité (agriculture, textile, high tech etc.)
Via blueQUEST, www.blue-quest.fr
L'IIRC ou International Integrated Reporting Council publie son rapport annuel. 75 entreprises et 25 investisseurs testent et réfléchissent aux principes du reporting intégré dans le cadre d'un programme pilote. Le rapport présente des exemples d'initiatives parmi les participants au programme pilote concernant 5 thématiques clés qui feront l'objet d'une note de définition précise: - la matérialité des informations, - les différentes formes de capital, - le concept de valeur, - le business model - la connectivité des informations.
Via Véronique Robert , Solange Hémery, blueQUEST, www.blue-quest.fr
Aux côtés de l’empreinte environnementale et économique, l'empreinte sociale est un impératif qui doit être pris en compte pour toute société qui cherche à asseoir croissance et rentabilité. Entretien avec Christian Nibourel, président d’Accenture France Benelux.
Via blueQUEST, www.blue-quest.fr
Les éco-entreprises sont tendances et on comprend pourquoi, à l’heure où la crise nous fait repenser les modèles traditionnels et où la préoccupation environnementale est prégnante. Une éco-entreprise, quesako ? Un guide de 75 pages, proposé en téléchargement gratuit. Son objectif ? Accompagner les créateurs intéressés par ce créneau, leur faire prendre conscience des spécificités et des enjeux de l’éco-entrepreneuriat.
Sous l'impulsion de son directeur, Gilles Cibert, ancien ingénieur agronome, l'hôtel La Pérouse (Nantes) s'est engagée, dès 2007, dans la voie du développement durable. L'hôtel s'est distingué à plusieurs reprises. En recevant, l'écolabel européen, par exemple, décerné par l'Union européenne. Ou encore le trophée du tourisme durable 2008, dans la catégorie hébergement. Apartir de 2011 que l'entreprise est passée à la vitesse supérieure en participant à l'expérimentation nationale de l'affichage environnemental, initiée par le ministère du Développement durable, dans le cadre du Grenelle de l'environnement. Objectif ? Analyser l'impact carbone d'une nuit d'hôtel à travers cinq indicateurs : la consommation d'eau, d'énergie, la masse de déchets générés, l'impact carbone ou encore l'utilisation de produits bio.
Pour soutenir les projets innovants en matière de développement durable (énergies renouvelables, recyclage et réduction de CO2), l’entreprise Allianz France a lancé un challenge à destination des chefs d’entreprise et des professionnels. Ce challenge Développement durable ‘et si on changeait le monde’ récompensera deux projets. Quand certains prônent pour une RSE (responsabilité sociale de l’entreprise) plus poussée dans leur entreprise, d’autres pensent à encourager les idées innovantes en faveur du développement durable. Et c’est le cas de l’assureur Allianz France. Ce dernier en partenariat avec Idinvest Partners a lancé en avril dernier le challenge Développement durable « et si on changeait le monde ».
Dans le cadre d’un ambitieux plan de modernisation de ses équipements, le Centre Pompidou vient d’initier les travaux qui lui permettront de disposer d’installations de climatisation et deventilation de haute technologie. Dalkia remplacera progressivement les treize centrales de traitement d’air actuellement enfonction sur le toit du bâtiment par des nouvelles centrales équipés de pompes à chaleur air/air.Ces dernières amélioreront les rendements électriques et thermiques et répondront aux besoins dechaleur, de froid et d’hygrométrie des 100 000 mètres carrés de surface du musée. En même temps Dalkia, leader des services énergétiques, a obtenu la certification ISO 50 001 de son siège francilien basé à Issy‐les‐Moulineaux. Cette norme aide à accroître l’efficacité énergétique, réduire les coûts et améliorer la performance énergétique d’un bâtiment. En se mobilisant, les 250 salariés du "Vaisseau", ont réussi à décrocher la certification en trois mois.
Situé dans le 20ème arrondissement de Paris, l'établissement multi-accueil Les Robinsons, dernier né de Crescendo a ouvert ses portes aux jeunes enfants de 3 mois à 3 ans début juin. D'une capacité d'accueil de 93 places, la nouvelle structure petite enfance, a été construite dans le respect de normes environnementales strictes :performance énergétique, panneaux solaires thermiques, toiture végétalisée... Quant au mobilier, éco-conçu, il est majoritairement issu d'un ESAT (Etablissement ou service d'aide par le travail).La crèche poursuivra par ailleurs dans la démarche de développement durable de Crescendo :couches biodégradables, 20% d'ingrédients bio dans les repas, produits d'entretien issus de la chimie végétale, textiles en coton bio, sensibilisation des salariés...
Une vingtaine de produits finalistes viennent d’être rendus publics dans le cadre du concours en ecoconception qui se tient actuellement en France, comme par exemple : OPTILIA : Chambre futuro matériaux Une chambre d'hôtel 3 étoiles éco-conçue intégrant des matériaux innovants et vecteur d'une démarche éco-conception, de sa création à son exploitation.
Le consortium CREER publie le premier chapitre d’une série de trois guides sur l’Analyse de cycle de vie (ACV). Nourri du retour d’expérience de plusieurs industriels, il a pour vocation d'introduire cette démarche de l'éco-conception auprès d’un public industriel large. Démarche incontournable pour caractériser l’impact environnemental des produits et services, l’Analyse de cycle de vie (ACV) peut s’avérer complexe au premier abord. Ce document de douze pages donne un point de vue industriel et des conseils concrets sur sa mise en œuvre. Il s’adresse aux décideurs, mais aussi à un public plus large (chefs de produits marketing, ingénieurs, acheteurs, etc.).Fruit d’un travail collaboratif coordonné par Steelcase, le guide capitalise sur les retours d’expériences des membres du cluster CREER: Renault, Socomec, Apesa, le Cetim, le Centre de Recherche Public Henri Tudor, Cycleco, EcoMundo, Parkeon et le Pôle Éco-Industries de Poitou-Charentes.
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