L’entreprise est devenu le ring privilégié sur lequel s’affronte régulièrement Directions métiers et DSI. Heureusement, des solutions existent et nous avions, dans un précédent article, déjà identifié l’importance de faire partager à ces deux « parties » des objectifs communs, qui les obligent à travailler main dans la main.
Dans cette quête de « collaboration DSI-Directions métiers stable et apaisée », un autre levier s’avère à son tour essentiel : celui d’une planification commune car elle permet de mieux anticiper et de gérer au mieux des variations de charge qui peuvent être source de conflits et d’incompréhension.
Une variation peut toujours survenir pour tenir compte d’aléas au cours du projet, ou de précision dans la demande Métier, mais cela ne doit pas remettre en cause la pertinence de l’engagement initial. La DSI doit donc développer son savoir-faire dans l’évaluation de sa capacité à faire. Voyons comment.
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Stéphane NEREAU
Voici le mode opératoire de cette attaque : imaginons que l’ouverture de la fenêtre de connexion de l’application eBay demande 13,5 Ko de mémoire vive. Le logiciel malveillant fonctionne en tâche de fond et surveille la mémoire consommée par le système (une information librement accessible). Lorsque cette dernière grimpe de 13,5 Ko, il affiche sa propre fenêtre de connexion – identique à celle de l’application eBay – par-dessus celle de ladite application. Et le tour est joué.