Un dossier particulièrement délicat a récemment été soumis à une première cour d'assises puis à une cour d'assises d'appel. Le point de départ est le suivant : une femme, membre d'un groupe qu'elle qualifiera de secte après l'avoir quitté, porte plainte pour viol en affirmant avoir cédé à une demande de relation sexuelle avec le responsable à cause de l'emprise qu'il exerçait sur elle. Elle soutient donc qu'elle n'était pas véritablement consentante. Nous ne nous arrêterons pas longuement ici sur la définition et les caractéristiques habituellement retenues pour définir une secte. Des informations peuvent être obtenues sur le site gouvernemental de la MIVILUDES (son site ici), organisme rattaché au premier ministre. Au demeurant, le visiteur de ce site constatera qu'il y est plus question de dérive sectaire que de secte...
>>>> Sectes & Droit : http://koubi.fr/spip.php/IMG/jpg/spip.php?article637