À chaque drame, à chaque fait divers meurtrier - d’ailleurs, plutôt moins important en France qu’il y a une vingtaine d’années - les allumées de la peine de mort ressurgissent, tels des zombis avinés de vengeance ressuscitant alors que des élections approchent.
Moins ils connaissent les dessous de l’affaire qui les fait surgir de leurs trous, plus ils se lâchent. Celle de la petite Fiona fait renaître ces assoiffés d’un sang qu’ils ne prendront jamais eux-mêmes. Et heureusement d’ailleurs que leur courage s’arrête au bord de leur clavier, sur les réseaux sociaux...