Comme je vous l'écrivais le 4 novembre 2011, la Deutsche Bank est non seulement la plus grande banque systémique du monde, mais en plus la banque la plus dangereuse du monde, qui comme les USA parvient à profiter de la notoriété de façade qu'elle a su s'échafauder et imposer autour de la planète pour retarder son day-of-reckoning. Mais aujourd'hui les actes criminels de Joe Ackermann, le plus grand mafieux ponziste de la planète et de l'humanité qui n'est qu'un Kerviel à la puissance 1000, ne peuvent plus se cacher, et la Deutsche Bank a créé en interne sa bad bank dans laquelle elle dépayse une première tranche de 135 milliards d'euros de papiers pourris, irrécouvrables et toxiques et comme toujours titrisés qu'elle appelle les "non-core-operations"...