C’est ainsi que le président de la République, François Hollande, a qualifié la Cour pénale internationale (CPI) dans le discours qu’il a prononcé lors de l’audience solennelle de rentrée de la Cour de cassation, le 18 janvier 2013. La France a été l’un des premiers pays à ratifier le Statut de Rome de la CPI. Néanmoins la loi du 9 août 2010 « portant adaptation du droit pénal à l’institution de la CPI » a rendu pratiquement impossible la poursuite devant les tribunaux français de suspects de crimes de génocide, de crimes contre l’humanité ou de crimes de guerre, car elle la subordonne à quatre conditions restrictives et cumulatives. La France devenait ainsi une terre d’impunité pour les auteurs de crimes internationaux...
Les subtilités (rires dans la salle) de la "clause facultative de compétence obligatoire", idem pour la Cour Internationale de Justice (CIJ). Méditons sur le concept de "faux cul" en Droit international