Lors de l'affaire Séralini, l'un des arguments avancé par ce dernier était que les données des industriels utilisées par les agences restaient secrètes. Or, s'agissant de santé publique, il est évident qu'un tel secret n'est pas acceptable. L'Agence européenne (EFSA) avait plaidé que ces données étaient tout de même accessibles aux spécialistes, sur demande. Mais le point était contesté...