Faire parler les agresseurs pour éviter la récidive | La-Croix.com | Chronique des Droits de l'Homme | Scoop.it

À Besançon, des mineurs poursuivis pour de graves agressions sexuelles se retrouvent chaque semaine au sein d’un groupe de parole. Un dispositif importé du Québec, qui se développe en France. Les quatre adolescents qui arrivent comme chaque jeudi après-midi à la Maison des adolescents de Besançon ne se distinguent en rien des jeunes de leur âge : même jean, mêmes écouteurs autour du cou, même cannette de Coca à la main. Thomas (13 ans), Kévin (14 ans), Théo et Michael (17 ans tous les deux) viennent de milieux différents mais échangent les mêmes blagues de potaches en attendant l’arrivée du pédopsychiatre, Christian Bourg...