Depuis le milieu des années 1980, Lucie et Raymond Aubrac ont été érigés par certains historiens puis par les médias comme le couple emblématique de la résistance française à l’Occupant nazi. Nombre de collèges portent leur nom et la disparition de Raymond Aubrac a suscité un concert d’hommages, jusqu’à la présidence de la République. Au point qu’une sorte d’histoire « sainte » des Aubrac s’est peu à peu mise en place, couronnée par le film « Lucie Aubrac », puis par la publications de biographies « autorisées » de Lucie (Perrin, 2009) puis de Raymond (Seuil, 2011) où leurs auteurs ont pris pour argent comptant les témoignages des deux héros. Et c’est là que le bât blesse et que l’histoire doit reprendre ses droits sur la mémoire. Deux points au moins dérangent la partie légendaire du récit....
>>>> Donc, donc, donc, Aubrac était un assassin communiste qui suçait son couteau rouge du sang etc...
>>>> Pour la dénonciation, dommage, c'est trop tard. Caramba, encore raté
>>>> A tant que faire, encore un peu de vomi : http://www.causeur.fr/eric-zemmour-notre-rivarol,17020
>>>> Contrepoint : http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Aubrac-etait-un-compagnon-de-route-pas-un-agent-communiste_a574.html