Chronique des Droits de l'Homme

Identifier l'origine d'une information circulant sur un réseau ou d'une épidémie, c'est désormais possible grâce à un algorithme qui pourrait aussi s'avérer utile aux enquêtes criminelles.

Symbole de la sortie de crise, pour certains, dans la mesure où ils représenteraient un formidable gisement d'emploi, permettant de sortir de la crise, les emplois verts sont montrés du doigt par un rapport remis au gouvernement...

Faire leur travail. Tout simplement. Avec fougue, cœur, sérieux et abnégation. C’est ce que j’ai demandé aux journalistes et à tout le personnel des Inrocks la première fois que nous nous sommes vus. Ce que je leur demande désormais chaque jour à chaque minute. Proposer des sujets, les angles originaux sous lesquels les traiter, discuter, se disputer, confronter nos points de vue de professionnels, ne jamais transiger avec l’honnêteté intellectuelle nécessaire et l’ouverture d’esprit indispensable à l’exercice de notre métier… essence de toute rédaction, donc de la nôtre...

Mise en chantier il y a une décennie, l’histoire de la gendarmerie est aujourd’hui bien active. Un ouvrage en forme de bilan rappelle que cette institution, arme au service de « l’ordre et la loi », a évolué en temps de crise comme en temps de paix, en s’ouvrant peu à peu à la société civile...

Combien d'intérimaires dans le Cantal? Combien de salariés en CDI en Picardie?

« Careercast.com et le Wall Street Journal publient un classement des emplois, du meilleur au plus nul, en prenant en compte cinq critères différents : l’exigence physique, l’environnement de travail, le salaire, le stress et les perspectives d’embauche. Sur 200 métiers, celui de journaliste apparaît à la 196e place. » C’est ce que j’ai lu sur le net ce matin. Alors je sais pas très bien qui a fait ce classement et surtout pourquoi mais moi, je vais vous raconter pourquoi, pour moi, journaliste c’est plus qu’un chouette métier...

>>>> Chouette papier !

La question de la légitimité des juges est un serpent de mer qui refait régulièrement surface notamment quand des décisions judiciaires déplaisent. Plutôt que de discuter le fond des dossiers, les intéressés, pour contourner l'obstacle, s'en prennent directement aux magistrats pour, sous couvert de débat sur leur légitimité, tenter de minorer l'impact de leurs décisions. Ce débat a été remis à l'ordre du jour il y a quelques années quand, après une longue période de quasi impunité judiciaire, des chefs d'entreprises et des élus ont été poursuivis pour diverses malversations sanctionnées par le code pénal. A tel point que, pour détourner l'attention de ces infractions, le débat a été lancé sur le "gouvernement des juges" (lire ici). Puis les choses se sont tassées. Le fait que même les élites se voient appliquer la loi est devenu progressivement (presque..) banal, ce qui par voie de conséquence a mis de côté le débat sur la légitimité des juges...

Deux fois par semaine dans la matinale de France Inter, l’humoriste se paie l’invité du jour : Nadine Morano qui l’engueule, Jean-Luc Mélenchon qui la coupe ou Henri Guaino qui encaisse. Rencontre avec une kamikaze...

On recherche un intermittent du crime qui vient d'arracher le petit sac à main d'une demoiselle à la sortie du métro. Toute sa vie était dans ce sac. Sac semblant avoir une haute valeur sentimentale. Le genre de sac qui fait le buzz dans cosmopolitan. L'occasion d'entrer en scène, de se retrouver à pieds au milieu de la foule et de zoomer sur les signalements correspondant à celui de notre client journalier : un jeune rom à moustaches, habillé en polo rayé (dixit la victime, hein). On était à peu près sûr de tomber sur lui en rôdant sur l'une des plus grandes places de la ville, où un grand marché noir à ciel ouvert se tenait tous les jours. Lieu le plus cosmopolite de la bourgade, où l'on peut voyager loin pour le prix d'un ticket de métro, ou d'une fraude...

Les acteurs de l'industrie financière peinent à séduire les candidats issus de la Génération Y. Le constat est similaire avec les femmes. Pour y remédier, le recours aux nouvelles technologies semble se révéler efficace.

Même en cette période de fort chômage, les candidats au métier de professeur se raréfient considérablement. Et parmi ceux qui se présentent, beaucoup ne sont pas au niveau du concours. Pourtant, n'est-ce pas la planque idéale pour intellos fainéants avec sécurité d'emploi, à l'abri de toute tracasserie, de toute violence, sans aucun stress, exerçant une autorité indiscutée sur les collégiens et lycéens, et pas si mal payée que ça vu les vacances et les 18h de travail hebdo (mais que font-ils le reste du temps ?). Marian Balastre commente des chiffres inquiétants. Le jury du CAPES de Lettres Classiques lui-même s'alarme et a l'audace d'avancer une idée très étonnante : ce métier ne jouit d'aucune considération. Vraiment, vous croyez, après tant de réformes, de rénovations et d'innovations pédagogiques destinées à plonger le monde scolaire (pardon, il fallait écrire : le système éducatif) dans le bonheur ?

Beaucoup de métiers peinent à trouver des candidats. C'est le cas des technico-commerciaux, des développeurs, des chefs de projet informatique ou encore des ingénieurs de bureaux d'étude, selon le baromètre "Jobintree".

C'est la révélation fracassante de l'émission Le Grand Journal de Canal+ du 13 avril 2012. En effet, selon le dernier classement Jean-Michel Apathie, le métier de Jean-Michel Apathie est l'un des pires au monde, puisqu'il se situe 196è sur 200. Tout juste devant les ouvriers en décontamination de Fukushima, les bûcherons sur plateformes pétrolières, les proctologues bovins ou le coach en coloriage de Mickaël Vendetta, mais derrière manutentionnaire à temps partiel (187è), organisatrice de réunion tupperware (190è), métallo à Florange (191è), testeur de balustrade chez Foxconn ou SDF (193è et 195è). Les critères de ce classement ?

>>>> J'ai pas regardé : président, c'est mieux ?

En préconisant une baisse des dépenses publiques dans son dernier rapport annuel, la Cour des comptes est sortie de son rôle. Et surtout, elle fait erreur du point de vue macroéconomique, car ses préconisations auraient un effet récessif sur l'activité et empêcheraient de mettre en oeuvre les politiques sociales dont la France a besoin...