L'opposante birmane Aung San Suu Kyi a affirmé jeudi que le peuple de Birmanie avait besoin du Royaume-Uni et des autres pays alliés comme chiens de garde, et non comme meneurs de claque, afin de s'assurer que les dirigeants birmans respectent leurs promesses de réforme. Lors d'un discours historique devant les deux chambres du Parlement britannique à Londres, Mme Suu Kyi a déclaré que la Birmanie avait besoin de soutiens critiques pour embrasser pleinement la démocratie après 49 ans de régime militaire, qui a pris fin l'an dernier...
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