Chronique des Droits de l'Homme

Congress should curb the government’s ability to peer into your inbox. EVER SENT an embarrassing e-mail? Ever gotten one you’d rather that others not see? Read this editorial if you use Gmail. Or if you have a Dropbox account. Or if you back up any of your files to Google Drive, Apple’s iCloud or any other remote drive that you can’t hold in your hand. Though some argue that the Fourth Amendment overrides it, a federal statute allows law enforcement agents to view material on these and many other common electronic storage services without a warrant, as long as that material is at least 180 days old...

La question des banlieues s’invite dans le débat, à travers les violences dans un quartier d’Amiens, le jour où la presse fait le bilan des 100 jours de l’élection de Francois Hollande. Toujours les mêmes images diffusées en boucle. Le commentaire égrène l’inventaire des biens détruits et les réactions des officiels. Les habitants sont sous le choc. Les regards se focalisent sur le degré de violence de ces jeunes, ou plutôt de ces silhouettes nocturnes qui mettent leur quartier à feu et à sang. On constate les dégâts au petit matin, les bâtiments publics incendiés, les carcasses de voitures calcinées, l’odeur des pneus brulés, le choc dans les yeux des voisins, les allers et retours des agents municipaux, les questions des journalistes, sans oublier la visite du ministre de l’Intérieur et les réactions de l’opposition imbibées d’arrières pensées politiques sur fond de tolérance zéro...

Rien ne va plus entre WikiLeaks et le New York Times. Mécontent de la ligne éditoriale du quotidien new-yorkais, le site qui diffuse des infos confidentielles a publié un faux éditorial sur le site du journal. Son thème : le blocus financier "illégal" imposé à WikiLeaks par les institutions financières américaines, prétendument signé par l'ancien directeur de la rédaction, Bill Keller. Le faux avait tous les attributs d'un vrai édito, puisque même un journaliste high-tech s'est laissé berner et a publié un lien vers l'article sur son compte Twitter, avant de le supprimer. Le journal enquête pour savoir si son interface de gestion a été compromise...