L’arnaque au Président qui consiste à piéger un salarié en lui faisant croire que les instructions qu’il reçoit émanent du ou d’un dirigeant de son entreprise se propage grâce à l’IA qui permet maintenant de contrefaire les voix et les visages et de rendre indécelables les procédés de phishing. Alors que le salarié licencié parce qu’il s’était fait piéger perdait généralement en justice, la Cour d’appel de Paris, par un arrêt récent, inverse la tendance. Le licenciement d’une salariée qui avait viré 196.000 € à des hackers chinois est déclaré non-fondé au motif, notamment, que la salariée n’avait pas reçu de formation sur la cybercriminalité. Cadre averti fait le point.
Scooped by
Intelligence Economique, Investigations Numériques et Veille Informationnelle
onto Renseignements Stratégiques, Investigations & Intelligence Economique September 10, 5:54 AM
|