C'est ce qui ressort d'un rapport (s'ouvre dans un nouvel onglet) publié au début du mois par les chercheurs en cybersécurité de Norton. Dans ce rapport, l'entreprise présente trois moyens clés par lesquels les cybercriminels pourraient utiliser ChatGPT pour rendre les arnaques en ligne plus efficaces : la génération de faux contenus, le phishing à grande échelle et la création plus rapide de malwares.
Norton affirme également que la capacité à générer des "fausses informations ou des désinformations de haute qualité à grande échelle" pourrait aider les cybercriminels à "semer la méfiance et à façonner des récits dans différentes langues" avec facilité.
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