« À 60 %, nous travaillons pour des entreprises. » Concurrence déloyale, faux arrêts maladie (en hausse depuis le Covid), vols en entreprise, fraude à l’assurance… « On est assez loin de l’image du détective qui passe son temps à traquer les adultères au sein d’un couple », corrige Nicolas. « On veut casser l’image populaire de ce métier. »
Le détective travaille aussi pour des avocats ou des notaires en quête de preuves dans un de leur dossier, « comme lors de procédures de divorce ou d’héritage. Si des éléments peuvent leur être utiles, notre rapport peut être utilisé dans le cadre d’une procédure judiciaire. »
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