Alors que l’opinion allemande s’était émue de l’opération d’espionnage de la NSA qui avait ciblé le téléphone portable d’Angela Merkel, le porte-parole du ministère de l’Intérieur a confirmé que les services de renseignement allemands étaient désormais autorisés à infecter le matériel informatique ou téléphonique d’un suspect, grâce à des « chevaux de Troie », pour surveiller ses communications. Baptisé Bundestrojaner, ce spyware aurait été réalisé par le groupe Finfisher Gamma international, spécialisé dans la surveillance des opposants politiques.
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